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Patrimoine martyr : soigner les blessures de guerre

  • Photo du rédacteur: SAMHA
    SAMHA
  • 1 oct. 2024
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 10 oct. 2024

Jeudi 17 octobre 2024

Par Nicolas DETRY Maître de conférences à l’École nationale supérieure d’Architecture de

Clermont-Ferrand

Patrimoine martyr : soigner les blessures de guerre La destruction des villes anciennes et des monuments historiques a connu une ampleur sans précédent durant la guerre de 39-45. Face au nombre incalculable de monuments détruits, mutilés, lacunaires, il a fallu trancher entre l’acceptation ou le refus de la perte définitive d’un monument ou d’un quartier ancien. Les belligérants s’attaquent souvent aux symboles architecturaux de l’identité culturelle de leurs ennemis, on a vu récemment les destructions du pont de Mostar en Bosnie-Herzégovine, celles des bouddhas de Bâmyân en Afghanistan ou de la cité de Palmyre en Syrie.

`Les blessures infligées au patrimoine par la seconde guerre mondiale ont questionné les choix à opérer au moment des reconstructions notamment en Italie, en Allemagne ou en France. Fallait-il conserver un édifice ruiné, le rebâtir à l’identique, le consolider, voire le modifier ? Pourquoi et comment le faire ? Le débat sur les restaurations post-bellica reste au cœur d’un enjeu majeur aujourd’hui : rassembler les communautés autour de valeurs et de souvenirs communs…



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